Les 10 et 11 février prochains se déroulera la National Capital Conference on Emergency Medicine à Ottawa. Cet événement grandement attendu est une référence en matière de transmission de pratiques innovantes dans le domaine de la médecine d’urgence, et ce depuis plus de 30 ans.
Étalée sur deux jours, la NCCEM propose une série de conférences didactiques, des ateliers interactifs et des exercices de simulation spécifiques à la médecine d’urgence. Ce sera l’occasion pour plusieurs urgentologues d’échanger sur leurs pratiques avec des collègues, membres et partenaires de l’industrie médicale.
C’est avec fierté que PetalMD participera pour la première fois à cet évènement afin de présenter sa solution aux problématiques de communication et de gestion vécues quotidiennement dans les départements d’urgence.
Les départements d’urgence canadiens font face à de nombreux défis, à commencer par la pénurie de professionnels. Selon une étude menée conjointement par l’ACMU, le CMFC et le CRMCC, il manquerait 478 urgentologues au Canada, et ce nombre pourrait croître jusqu’à atteindre 1071 en 2020.
L’achalandage croissant des départements d’urgence s’expliquerait en partie par la pénurie de médecins de famille. C’est du moins l’hypothèse qu’émet le journal officiel du CMFC, puisque les citoyens qui n’ont pas accès un médecin de famille auraient tendance à se rendre à l’urgence pour des situations non urgentes.
De plus, la réduction de 60 milliards de dollars sur la prestation des soins de santé prévue pour les 10 prochaines années aura une incidence sur la mise en place de solutions pouvant remédier à cette pénurie.
Au-delà des problèmes de ressources humaines et financières qui attirent souvent notre attention, nous avons tendance à oublier que l’efficacité d’un département d’urgence est fortement influencée par la clarté de la communication entre les intervenants. Et c’est ici que la solution proposée par PetalMD intervient.
Selon une étude menée par le Spyglass Consulting Group, 53 % des infirmières ont de la difficulté à identifier quel médecin est disponible dans un département d’urgence. Cette confusion explique sans doute la découverte d’une autre étude menée dans deux hôpitaux affiliés à l’Université de Toronto, à savoir que 14 % des alertes de pagette sont envoyées à des médecins qui ne sont pas de garde.
La solution proposée par PetalMD clarifie et accélère la communication entre les intervenants d’un département d’urgence en éliminant le jeu de ping-pong téléphonique entre les médecins et les secrétaires. Tout le monde à accès à la même information, en même temps et à partir de n’importe quel appareil.
Comme le disait si bien le PDG de PetalMD Patrice Gilbert lors d’une entrevue avec Devenir Entrepreneur, les quatre ennemis du système de santé sont en vérité le téléavertisseur, le télécopieur, le téléphone et le logiciel Excel. Pour réduire considérablement le risque de confusions et d’erreurs, mieux vaut utiliser un seul canal de communication intégré directement aux horaires des médecins.
Vous comptez assister à la National Capital Conference on Emergency Medicine? N’hésitez pas à venir nous rencontrer pour discuter avec nous et poser vos questions!
Au plaisir d’échanger avec vous.